HOY COMO AYER Très Vieux Rhum Cubain 67 Ans 1956 53.7°
Trés Vieux Rhum Cubain - 67 Ans -1956
Edition Limitée Numérotée 270 bouteilles
 
Note RumX : 8.7/10 (Ref RX21823)
 
Contenance : 70 Cl
Degré : 53.7°
Distillerie :  Inconnue (Cuba)
Embouteilleur Indépendant : Velier En Savoir Plus
Marque : Hoy Como Ayer
Matière première : Mélasse
Distillation : A probablement eu lieu dans des alambics à repasse et en colonnes doubles traditionnelles, reflétant le style cubain classique de l’époque
Caractéristique : Distillé en 1956, en pleine pré révolution cubaine, Hoy Como Ayer est un témoin unique de l’âge d’or de la production de rhum à Cuba. Ce single cask est exceptionnel à plusieurs titres : non seulement il a vieilli sous climat tropical pendant 67 ans, engendrant ainsi une impressionnante part des anges, mais il a également conservé une certaine part de mystère quant à sa distillerie d’origine, ce qui n’a fait qu’accroître son aura singulière auprès des équipes de La Maison & Velier qui l’ont sélectionné.
Vieillissement : 67 Ans sous climat tropical
Année d'embouteillage : 2023
Conditionnement : Coffret
 
L'EMBOUTEILLEUR INDEPENDANT : 
L'embouteilleur indépendant Vélier... En Savoir Plus 
 
LE PRODUIT :
Distillé en 1956, en pleine pré révolution cubaine, Hoy Como Ayer est un témoin unique de l’âge d’or de la production de rhum à Cuba. Ce single cask est exceptionnel à plusieurs titres : non seulement il a vieilli sous climat tropical pendant 67 ans, engendrant ainsi une impressionnante part des anges, mais il a également conservé une certaine part de mystère quant à sa distillerie d’origine, ce qui n’a fait qu’accroître son aura singulière auprès des équipes de La Maison & Velier qui l’ont sélectionné.
En effet, l’histoire qu’il raconte est intimement liée à la période de bouleversements sociaux et politiques qu’a connu Cuba durant les années 1950, décennie marquée à la fois par la prospérité économique apportée par le développement de l’industrie sucrière et la production de rhum, mais aussi par un essor et un rayonnement culturel inédit.
C'est donc tout naturellement que cette bouteille a été illustrée par un autoportrait de l'artiste cubaine Aconcha, née à La Havane en 1946, et dont le travail est profondément influencé par la Santería et la culture afro-cubaine. Intitulée « Hoy Como Ayer » – Aujourd’hui comme hier, cette œuvre colorée fait également écho à la chanson du même nom, interprétée en 1956 dans le film No Me Olvides Nunca – Ne m’oublie jamais, par l’une des voix les plus connues de Cuba, le célèbre ténor Benny Moré. Plus que jamais, ce rhum unique et rare invite à réfléchir à l’œuvre du temps qui passe, un thème cher aux artistes et aux amateurs de spiritueux d’exception.
Embouteillé au degré naturel après une lente maturation en fût de rhum sous le climat tropical de Cuba, Hoy Como Ayer offre une occasion rare de redécouvrir un style cubain disparu depuis longtemps. La distillation a probablement eu lieu dans des alambics à repasse et en colonnes doubles traditionnelles, reflétant le style cubain classique de l’époque. Cette vénérable version a acquis une maturité d’expression qui force l’admiration et incite au recueillement.
 
NOTE DE DEGUSTATION :
Couleur : Acajou.
Nez : Riche et profond. Très complexe, la palette aromatique oscille entre des parfums de crème brûlée, de noix grillée, de confiture d’orange, d’abricot sec, de mangue, de raisin sec, de pruneau, de curcuma, de cire d’abeille, de cuir de Russie et de papier d’Arménie. Bouche : Pleine de vivacité et gourmande. Posée sur un lit de cannes à sucre brûlée, la palette gustative est poudrée (cacao, gingembre), torréfiée et concentrée (concrète d’iris). Elle évolue avec gourmandise sur des saveurs de baba au rhum, de fève de tonka et de confiture de figues.
Finale : Longiligne et légèrement tannique. Une fine couche de suie recouvre dans un premier temps l’espace gustatif. Puis, procurant la sensation de fumer un délicieux Havane, la palette gustative devient de plus en plus chaleureuse. Chocolatée, épicée (cannelle) et cendrée, la rétro olfaction reprend à son compte les registres abricotés et confiturés du nez.